Les implantations géographiques de Jaz sont de deux ordres : les sites de productions et les bureaux d’administration . Les lieux de productions comprennent : l’usine de Puteaux , l’usine SAP de Colmar , l’usine-laboratoire de Nanterre , l’usine de Wintzenheim , la petite usine d’Annecy , le site des montres à Villers le Lac pour la France . Pour l’étranger : l’usine indienne SIFCO Jaz/Favre-Leuba , l’usine brésilienne IBREL de Manaus et l’usine Jaz espagnole .
Texte de Ivan Benel , co-fondateur de Jaz , dans Vendre Mars 1924 Fondée en 1919 , Jaz ne commencera à produire qu’en 1921 , le temps de recevoir les rapports des employés envoyés aux Usa pour étudier les méthodes industrielles américaines , de concevoir les premiers calibres mécaniques et de construire son usine à Puteaux . Elle est située avenue Saint Germain , ensuite nommée Route nationale n°13 , puis au moment des travaux devenue avenue du Président Wilson , s’agissant de Woodrow WILSON , président américain , d’abord neutre et isolationniste , qui engage les USA dans le conflit mondial en 1917 , fonde la Société des Nations et obtient le Prix Nobel de la Paix , cette même année 1919 ; Avenue Wilson qui prendra le nom du Général de Gaulle après la seconde guerre mondiale .
N’oublions pas que la CIMH , raison sociale de Jaz , est née du traumatisme de la Grande Guerre , de son impact économique et humain , de la volonté de proposer un réveil qui écrase l’offre allemande en France et à l’international : JAZ a vraiment failli s’appeler OZARM , qu’il faut bien entendre comme le revanchard début de la Marseillaise : Aux Armes !
L’usine Jaz est juste à droite , hors champ . Encadré en rouge: le monument de la Défense de Paris ; Devant la statue , le tramway et la station où descendaient les ouvriers pour se rendre au travail , pour ceux qui venait des communes limitrophes de la couronne desservies par le tram électrique sur rail dont on voit un caténaire sur son pylône .
Les ouvriers qui venaient de Paris ou de l’Est Parisien prenaient le métro puis le bus ..
..ou le tramway , lignes 47/43 ou 85 depuis le métro Neuilly . Ils bénéficiaient d’un tarif spécial coupon retour ouvrier à certains horaires . Puteaux est une petite commune de 319 hectares – soit moins que le VIII° arrondissement de Paris – avec une forte déclivité , l’altitude variant de 29 à 78 mètres . Jaz était implanté dans le Haut-Puteaux comme beaucoup d’usines , tandis qu’un autre groupe , encore plus important d’industries longeaient les quais de Seine .
Il existait également cette autre entrée pour les ouvrières , depuis le bas de Puteaux . L’usine , non- visible puisque non encore bâtie , se trouvera tout en haut à droite . La rue des Pincevins , longue de 523 mètres , est élargie et viabilisée en 1896 puis renommée Edouard Vaillant , le 3 juin 1925 . Elle ne fait plus de nos jours que 323 mètres de long .
L’oblitération est de 1928 mais la carte est bien antérieure , c’est précisément sur ce plateau , en haut de la rue des Pincevins , à gauche , que sera construite l’usine Jaz .
L’usine est tout d’abord officiellement sise au 73 avenue du Président Wilson puis au 7 ( pas en raison d’un déménagement mais d’un changement de numérotation ) . En 1936 , en raison de ses agrandissements , elle est domiciliée au 46 rue Edouard Vaillant , la petite rue perpendiculaire descendante qui longeait l’usine , précédemment rue des Pincevins .
L’usine est donc édifiée sur la parcelle dite La Demi-Lune , avec entrée donnant d’abord sur la rue des Pincevins .
Ainsi s’explique un changement d’adresse qui intriguait les collectionneurs : l’usine n’a pas bougé , c’est la domiciliation qui varie à angle droit ! Consultez notre article relatif aux autres usines horlogères ( article à venir )
Prospectus 1923 page 21 . Ce document , comprenant des informations techniques , est destiné aux professionnels de l’horlogerie , revendeurs , etc . Une page est consacrée à l’usine de Puteaux construite en 1919/1921 . Derrière un bâtiment rectangulaire de trois étages , fortement vitrée , on comptabilise la toiture en dents de scie de six sheds
Dans ce même fascicule , on trouve quatre vues de l’intérieur de l’usine Jaz de Puteaux
Comme la majorité des usines d’avant l’électrification , les machines étaient animés par des courroies : l’usine Jaz n’échappait pas à la règle de la transmission de l’énergie par ces bruyantes sangles et poulies , qui nécessitait des employés uniquement dédiés à leur entretien , réglages et réparations .
On notera la séparation des tâches dans les différents ateliers entre ouvriers et ouvrières
Chez Jaz , les ouvrières , que nous voyons en blouses à leurs postes , ont été formées en interne à des tâches peu spécialisées et mal payées , comme en témoignent les différents mouvement sociaux qui secoueront la manufactures et dont nous nous ferons l’écho dans un prochain article . Ces vues , des grands ateliers Jaz à Puteaux , marquent une étape capitale dans l’histoire de l’industrialisation de l’horlogerie , puisque précédemment la fabrication de pièces fonctionnait traditionnellement selon le procédé dit de l’établissage : des artisans spécialisés travaillent à domicile et fournissent chacun un élément très spécifique . Les pièces sont ensuite collectées et assemblées par un « établisseur » , selon le principe de la production proto -industrielle , dont Frédéric Japy est le promoteur . Pour chaque poste de travail , Japy conçoit une machine-outil adaptée et capable d’opérer une production en série . Ainsi , il augmente à faible coût les cadences de production , tout en réduisant la main d’œuvre nécessaire .
Pour Japy , l’un des pionniers du paternalisme moderne , l’étape suivante consiste à regrouper ses ouvriers autour de sa fabrique pour minimiser les coûts de transfert .
Après avoir développé un système de division du travail pour son usine d’ébauches de montres , Japy décide en effet d’installer ses ouvriers au plus près de leur lieu de travail . Il fait construire une aile de logements attenante à l’usine et des pavillons . Les ouvriers mangent le soir à la table du patron . Pour Jaz , rien de tout cela , qui puise dans le bassin ouvrier de l’ouest parisien sa main d’œuvre , plus ou moins qualifiée .
Extrait d’un petit prospectus de 1924 – que l’on trouvait plié dans les boîtes de Jaz donc destiné aux particuliers . Les différences avec l’image précédente sont minimes . Les éléments qui amène l’implantation de cette usine à Puteaux sont multiples : un emplacement libre , suffisamment important et pouvant être agrandi puisqu’il le sera , dans un tissu urbain peu dense mais proche de logements ouvriers , desservis par des transports en communs pour le personnel ou le train pour les fournitures , proche de Paris où se trouve les bureaux de la Direction et du Service Commercial .
Jaz avait distribué un petit triptyque en forme de maison , à destination du public ,
en Espagne même communication sur la nouvelle usine de Puteaux
La statue de Barrias est un excellent point de repère pour se situer à travers les années et les bouleversements urbains incessants sur Puteaux et Courbevoie .
Louis-Gustave Brandt , co-fondateur de Jaz , décroche décroche le dix millionième Jaz , en Juillet 1943 , à l’usine de Puteaux . On le reconnait aisément à sa stature imposante derrière la chaîne de production , Paul Nicolas , qui aura à gérer pendant la guerre les pénuries d’électricité , de chauffage , de matières premières et les restrictions de l’occupant ( Extrait Jazette 1943 ) . Voir notre article , à venir , Jaz pendant la Guerre .
Ultime cohabitation entre la statue de Barrias et le CNIT , inauguré en 1958 par le Général De Gaulle .
Elle représente la Défense de Paris en 1870/71 . Plusieurs fois déplacée en fonction des chantiers de la Défense , s’est pourtant elle qui donne son nom au quartier d’affaires , le quatrième au monde en attractivité .
Vue aérienne de Puteaux à gauche et Courbevoie à droite ; encadré l’usine Jaz ; en bas le Pont de Neuilly donne sur une large avenue qui n’existe plus , remplacée par le tunnel de la Défense en sous sol , coiffé par l’esplanade qui aboutît de nos jours à l’Arche de la Défense , implantée au delà du carrefour de la Défense .
Détail de la photo précédente ; l’usine se voit de profil
Changement d’angle : les sheds très blancs sont au premier plan le bâtiment à étages derrière . Le CNIT est en construction , l’usine Jaz entame ses derniers jours .
agrandissement : les sheds sont au premier plan .
1956 , vu du ciel au bout de la pointe de la flèche l’usine Jaz , à l’angle des rues Edouard Vaillant et de l’Avenue du Président Wilson
Catalogue 1953 couverture . En bas l’usine historique de Puteaux considérablement agrandie depuis les vues de 1921/1924 . En haut l’usine à Colmar de la Société Alsacienne de Précision , plus connue sous son acronyme SAP , qui produisait des petits réveils estampillés CARAT. Société et usine reprise par Jaz en 1951 .
Catalogue 1954 Les catalogues étaient destinés aux revendeurs , toutefois ceux -ci les montraient à leurs clients pour passer commande d’un Jaz qui n’était pas en stock chez l’horloger . Les particuliers pouvaient donc apercevoir brièvement cette page , où l’on voit en haut l’usine historique de Puteaux . Juste en dessous l’ancienne et massive usine SAP de Colmar qui fabriquait les réveils Carat à calibre AB devenus COLMIC , ALSIC et SAPIC . En bas une vue depuis les champs de l’usine du Haut-Rhin en banlieue de Colmar . En 1954 , année de publication de cette photo , pour faire face au développement constant de son activité, Jaz s’implante à Wintzenheim sur un terrain de 40.000 m2 dont 20.000 m2 couverts avec de longs sheds , hérités de la soierie qui avait construit les bâtiments en 1920 . Etrangement Jaz n’a jamais montré la moindre image de sa petite usine d’Annecy , avenue des Romains .
Catalogue 1955 : les trois sites de production de Jaz sont indifférenciés sur cette page
1955 :exception dans la communication de Jaz , cette page montrant la presse de 1o00 tonnes dans a presse grand public .
Catalogue 1962 /1963 page 1 La presse de 100 tonnes se trouvait à Puteaux au rez de chaussée , en raison de son poids et des vibrations qu’elle engendrait , même si les 100 tonnes citées ne sont pas son poids mais sa puissance d’emboutissage. On remarquera -plus haut- qu’en 1955 , la même presse était censée avoir une puissance de 160 tonnes .
Paul Nicolas à l’usine -mère de Puteaux entre les bancs de test des Fanic et Talic Hormis l’énergie et la matière première , Jaz contrôlait , de haut en bas , les divers stades de sa production : c’est l’intégration verticale ; pas tout à fait totale , puisque Jaz n’était pas propriétaire de ses points de ventes , assurés par des horlogers concessionnaires non exclusifs , qui pouvaient vendre également des Vedette , des Oméga , des Bayard , etc . Mais Jaz n’a pas négligé l’intégration horizontale en absorbant ses concurrents , comme Carat , Japy et SMI à Marseille .
Catalogue 1964/1965 page 3
Certes l’usine Jaz de Puteaux a totalement disparu et le quartier est tellement bouleversé que les rues elles mêmes qui l’entouraient ont été supprimées . Néanmoins si vous observez attentivement cette vue satellitaire , vous verrez un entrelacs de chemins , tous nommés voie de l’horlogerie à son emplacement en son hommage et sa mémoire .
L’INDUSTRIE À PUTEAUX au XX° SIÈCLE L’objet de ce petit panorama des industries à Puteaux est d’analyser le contexte de l’implantation de Jaz dans cette commune et d’en cerner les raisons sociales et logistiques .
La ville de Puteaux , commune de l’Ouest parisien , est riche d’un long et prestigieux passé industriel , en particulier dans les domaines de l’automobile avec De Dion-Bouton , mais aussi Unic , Saurer et Daimler-Benz , de l’aéronautique Zodiac Aerospace , de l’armement avec les Ateliers de Puteaux , des encres d’imprimerie Charles Lorilleux , des parfums Coty , etc .
Le nombre de cheminées donne une petite idée de la densité de l’industrialisation en bords de Seine
Une vue générale dévoile une autre forêt de cheminées ; à noter la silhouette de la Tour Eiffel et les deux minarets du palais du Trocadéro de Davioud . En revanche pour le dirigeable , il s’agit un photo-montage fréquent vers 1910 ; on peut trouver la même carte postale , plus tôt , sans ce ballon , puis plus tard avec un avion .
Et pourtant , il y avait bien des dirigeables à Puteaux , fabriqués par Zodiac , de l’autre côté de la place de la Défense , face à l’usine Jaz .
L’adresse de Zodiac était tout d’abord 15 route du Havre , devenue 15 avenue de la Division Leclerc après guerre ; comme l’avenue de l’usine Jaz qui a changé de nom après chaque guerre . Expropriée pour être remplacée par le CNIT , l’adresse du transfert est mentionnée au tampon sur ce papier à en-tête , à savoir Courbevoie , une des communes limitrophes de Puteaux . Jaz fait un choix très différent en se relocalisant en Alsace dans deux usines près de Colmar . Voir notre article sur Jaz et les antonomases .
Sur ce plan apparaît la portion triangulaire de l’usine Zodiac en jaune où le CNIT sera construit expliquant la forme très particulière de cet audacieux geste architectural .
De Dion-Bouton . En 1900 , cette marque est le plus grand constructeur automobile au monde , à l’origine de l’essor planétaire de cette industrie , fournisseur de moteurs pour 200 marques . Une première usine est implantée Quai national , devenu depuis Quai De Dion -Bouton , au bord de la Seine avant de construire une deuxième usine près de Jaz au Rond Point de la Défense pour un total de 4.500 ouvriers . Le nom De Dion est inscrit sur la Tour Eiffel parmi les 72 grands savants français .
L’industriel Charles LORILLEUX (1827+1893) , fabricant d’encres d’imprimerie , a été maire de Puteaux . Comme Jaz plus tard il bâtira un deuxième site sur Nanterre puis 29 dépôts et agences, et 41 usines et succursales en France et à l’étranger.
L’usine de parfums COTY , anciennement Le Jouet Français , dit l’Atelier des mutilés en raison des poilus réinsérés par la facture de jouets et automates , en 1915 , et destinée à concurrencer les jouets allemands , comme Jaz dont les fondateurs avaient clairement formulé leur volonté de battre les horlogers d’outre-rhin . François COTY ( 1874+1934) en inventant la parfumerie moderne , devient un des premières fortunes mondiales , au prix d’une condition ouvrière épouvantable dans ses usines de Suresnes et de Puteaux . Avant de mourir lessivé par la crise de 1929 , son mode de vie fastueux et un ruineux divorce .
L’Arsenal national de Puteaux était désigné par les initiales APX , la plupart des armes et munitions de la première guerre mondiale y ont été fabriquées ou conçus par 6.000 ouvriers . En Angleterre c’est l’industrie alimentaire qui est pionnière dans la rationalisation des chaînes de production , pas du tout en France où ce secteur est très en retard . C’est l’industrie de l’armement qui va mener l’offensive en France , à la Manufacture Saint Etienne et dans les arsenaux nationaux . Faisant apparaître un corollaire souvent oublié dans ce processus : l’interchangeabilité et la standardisation des pièces détachées : cela paraît évident mais c’est nouveau .
Le point commun , à toutes ces industries , est la production à la chaîne provoquant lentement une consommation de masses et non y répondant , comme de récentes études l’ont démontré . Ce n’est pas la demande qui a provoqué la Taylorisation . En produisant des Ford A et Ford T en masse , la Fordisation ne répond pas à une demande pressante des américains moyens mais au contraire leur propose un produit , jusqu’alors tellement hors de portée , qu’ils n’en rêvaient même pas . Comme John Ford , Jaz applique le travail à la chaîne dès ses débuts , fort de l’expérience de son cofondateur Louis-Gustave Brandt , de la famille qui installe la première usine de production de masse pour des montres à Bienne en Suisse . Ivan Benel , l’autre cofondateur de Jaz , explique avoir envoyé des employés s’inspirer des méthodes américaines sur place à travers les USA .
Si Jaz imite Ford dans sa méthode de production et sa cible commerciale . Il y a une grosse différence sur l’attente de son offre , puisque l’horloger répond d’abord à une demande réelle des classes laborieuses qui ont vraiment besoin d’un réveil ponctuel pour aller au travail . Aussi pendant les cinq premières années sont proposés des réveils basiques et multitâches que l’on retrouve au bureau , à la cuisine , au salon , etc . La fiabilité des réveils produits fait le bonheur des acheteurs , pas celui du fabricant qui sature rapidement le marché . Il convient alors de provoquer une demande moins nécessaire en créant la mode dans l’horlogerie comme dans l’habillement , l’ameublement par des offres de pendules et pendulettes décoratives pour chaque pièce de la maison , chaque style et toutes les classes sociales .
Jaz pouvait s’auto-alimenter en énergie comme les usines de batteries et de véhicules électriques DININ de Puteaux et leur machine à vapeur : c’était donc une usine électrique à vapeur .
L’usine Ouest- Lumière en 1901
L’usine Ouest-Lumière en 1920 Les usines pouvaient , aussi bien , se fournir auprès de l’usine d’électricité Ouest Lumière de la rue Volta , qui donnait sur le Quai national près de l’Usine Dion Bouton . Cette différence est à l’origine des définitions que les industriels attribuaient eux mêmes à leurs établissements et qui nous semble incongrues de nos jours : usine à vapeur ou usine électrique , par contraste avec les anciennes usines hydrauliques des pipiers , des horlogers ou lunetiers toutes alimentées par La Bienne qui traverse Morez puis Saint Claude , par exemples .Voir notre article sur les usines Odo à Morez . Avant la nationalisation du secteur électrique par le Général de Gaulle en 1946 , ce ne sont pas moins de 1450 entreprises françaises privées qui coexistent pour assurer la production, le transport et la distribution d’électricité et de gaz aux industriels d’abord et aux particuliers , ensuite . Des usines fabricants de l’électricité fournissaient localement les usines qui n’étaient pas autonomes au niveau énergétique .
Les cafés et Tapiocas Rihal avait donc une usine à vapeur à Puteaux
La fameuse inondation qui a frappé Paris en 1910 a touché tous les riverains de la Seine
En s’installant sur les hauteurs de Puteaux , Jaz échappait aux inondations …
…mais ne profitait pas directement du transport commercial fluvial par péniches qui apportaient , entre autres , la houille aux usines électriques ou à vapeur qui , au final ou plutôt à la source, étaient toutes des usines à charbon . Sur cette carte postale : une grue de transbordement et la cheminée de l’Usine Électrique l’Ouest Lumière à l’horizon .
Le porteur de cette action était déjà contraint d’assumer l’activité de fabrication des savons mous et durs , des huiles de pieds de bœuf et autres denrées glamours comme la gélatine , on peut comprendre que l’imprimeur n’est pas voulu l’accabler d’avantage en optant pour Usine de Puteaux plutôt que de choisir le difficile à entendre : Usine Putéolienne . LES CONFLITS SOCIAUX chez JAZ ( article en préparation )
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