MARSIC , dit le » JAZ de GUERRE « , gros réveil rond , mouvement mécanique calibre D , à petite bélière, chemin de fer au pourtour du cadran, vitre en verre plat, arrêt de sonnerie au sommet, mention Made in France en bas de cadran ( pas de mention CIMH contrairement à son « cousin » le PUBLIC ) ; existe en version nickel référencé 900 pour le non-lumineux 301 et pour le lumineux, ou émaillé bleu référencé 902 pour le non-lumineux et 903 pour le lumineux, nouveauté du tarif F192 de Janvier 1940, diamètre 9,5 cm. La dénomination MARSIC sera réattribuée en 1977.
tarif F192 de Janvier 1940 , en illustration la version non-lumineuse.
Les clefs évidées sont typiques de cette période .
Caractéristique de cette période , le dos du MARSIC n’est pas vissé mais emboîté, on retrouve cette particularité avec le PUBLIC son contemporain . Attention en introduisant un tournevis pour l’ouverture , le balancier n’est pas loin derrière .
Le marteau , qui se trouve d’ordinaire sur le côté du calibre pour frapper le dos-cloche au bord , est déplacé vers le centre et à l’extérieur des platines pour venir frapper un ergot fixé sur la face intérieur du dos- cloche . Boîtier et dos ainsi emboîtés ne font qu’un , si bien que la sonnerie est tonitruante !
Le PUBLIC est décidément hors normes puisque la date n’est pas frappé comme d’habitude sur le marteau mais au dos du cadran . La platine du calibre D – étrangement frappé X – n’est pas en laiton doré mais en alliage blanc , mais il s’agit là d’une caractéristique des mouvements produits pendant la guerre en raison des restrictions
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