ce catalogue ne comprend que des horloges murales qui sont toutes en bois ou en liège page 1 : 6092 / 6091 / 6084 / 6070 page 2 : 6071/ 6089 / 6088 / 6080 page 3 : 6098 / 6097 / 6087 / 6099 page 4 : 6062 / 6085 /6107 / 6108 page 5 : 6045 / 6065 / 6018 / 6056 page 6 : 6090 / 6077 / 6076 / 6075 page 7 : 6402 / 6403 / 6112 / 6113 page 8 : 7213 / 7165 / 7211 / 7167 page 9 : 7163 / 7193 / 7217 / 7219 page 10 : 7205 / 7203/ page 11 : 7625 / 7626 / 7624 / 7627 page 12 : 7614 / 7629
Catégorie : catalogue
Catalogue 1996
1996 est une année noire pour Jaz puisque la Compagnie Générale Horlogère , créée le 1° Janvier 1987 pour rassembler les marques françaises Jaz et Yema, ainsi que les marques japonaises Seiko, Lotus et Pulsar, stoppe l’activité de Jaz en janvier 1995 ; Elle n’est reprise par le sémillant et dynamique Marc Augier , déjà concepteur des montres de la marque Camel Trophy , qu’en Janvier 1997 : le catalogue 1996 n’a donc jamais existé puisque les catalogues s’étagent de Juillet à Juillet . Le précédent catalogue 1994 /1995 qui devait donc couvrir Juillet 1994 à Juillet 1995 n’a plus cours en Janvier 1995 , donc dans les faits 1995 et 1996 sont deux années blanches ou bien noires .
Panorama des couvertures de catalogues Jaz 1934 à 2000
















































Petit catalogue Barre à Millau 1959

DOSSIC , TRANSIC , STADIC , TURZIC , LASSIC , CARPIC , TALIC et COMTIC . En début du catalogue, édité au moment du passage des anciens aux nouveaux francs, il est expliqué que les prix sont encore données en francs anciens. Pour les Nouveaux Francs: lire les chiffres gras pour les francs et les chiffres maigres pour les centimes. Le choix proposé est vraiment large, la gamme Jaz avait vraiment de quoi satisfaire tous les goûts et besoins.

Ce petit catalogue de 16 pages correspond à une pratique courante des années 60 consistant pour les bijouteries horlogeries joailleries orfèvreries de bon standing à éditer un florilège de leurs ventes comprenant une ou plusieurs pages pour les montres femmes et hommes, idem pour les couverts, les bijoux, etc. La page des horloges murales et carillons est souvent attribuée à Vedette et celle des réveils et pendulettes à Jaz. Il est à rapprocher du catalogue de la Flèche d’Or de 1962.

Il est intéressant de constater que la TALIC de Jaz est un peu moins cher que la Vedette 7/468 à pile, tout a fait similaire: la trotteuse en moins! Jaz proposait à la même date deux horloges suspendues à un cordon, les TRINIC et PENDIC, très semblable à la Vedette 7/389.

Le choix dans ce type de catalogue porte souvent sur LIP pour les montres de prestige.
Petit catalogue La Flèche d’Or 1961
Page Jaz : n° 128 PALTIC ; n° 129 CHANTIC ; n° 130 GAMBIC ; n° 131 INSTIC ; n° 132 RITIC ; n° 133 RIDIC ; les illustrations sont exactement celles du catalogue Jaz 1961/1962 ; l’intérêt pour nous de ce petit catalogue est la comparaison des prix avec les concurrents directs de Jaz au sein d’un même commerce .
page Vedette le n°126 au décor chinois qui est pourtant au même prix que la RITIC est de nos jours introuvable à la vente . La 123 en fer forgé est la 7/889 , disponible 1931 à 1965 , qui est , en revanche , fort courante sur les sites de vente . La n°122 verra ses chiffres caractéristiques repris , mais en relief sur la RICHIC de Jaz en 1963 . En sachant que la RITIC est une murale particulièrement spectaculaire , les prix Vedette et Jaz semblent tout à fait du même ordre .
page Yema . Le succès mondial de cette marque française dans les montres a occulté ses propres productions de réveils pourtant pas négligeables . L’historique du site officiel Yema n’y fait pas allusion . Les prix sont très proches , là encore , de ceux de Jaz .
Page ImHof et Hour Lavigne . Avec le Suisse ImHof de la Chaud de Fond et le français Hour Lavigne , il s’agit des pages de luxe de ce petit catalogue ; avec le numéro 55 vendu presque six fois celui du RIDIC proposé plus avant , on constate que les modèles les plus luxueux de Jaz restaient abordables .
L’enseigne existe toujours , à notre grande joie , mais ne la cherchez plus au 36 avenue Paul Vaillant-Couturier au Kremlin Bicètre , bien que la boutique n’ait pas changé d’emplacement . Tout simplement parce que la voie a été rebaptisée avenue de Fontainebleau , sa première toponymie , qui ne rappelle plus le passé communiste de cette commune de la ceinture rouge de Paris . Ce catalogue est à rapprocher du catalogue, tout à fait similaire, de la maison Barre à Millau en 1959
Page Lip en couleurs parce qu’il s’agit du quatrième de couverture.
Carte de fidélité au nom d’un certain Monsieur Papin qui habitait l’adresse prestigieuse à Chatelenay- Malabry ( pas Malabris ) du 35 rue jean Longuet , correspondant au Pavillon Colbert .
Catalogo Jaz 1981 /1982
Ce catalogue 1981/1982 n’est pas la version en langue espagnole du catalogue Jaz français de 1981 ou 1982 ; En France il y a une édition par année destinée uniquement aux professionnels revendeurs ; Il s’agit d’une publication tout à fait originale et spécifique au marché espagnol qui présentait la particularité d’avoir une usine Jaz sur son territoire . Les réveils français ont des dénominations se terminant en -IC ; à part quelques exceptions pour des modèles prestigieux vendus en Italie et Belgique , les jaz étrangers n’ont pas de noms , que des références .
page 1 : Etrangement ce catalogue commence par les horloges murales , c’est exactement l’inverse en France ; la 1021C ressemble fort à une CALIC , en plus petite de 6 cm ; la référence 1006 est spécifique à l’Espagne
page 2 ; la 273 à dateur est une variante de la PRATIC que Jaz a vendue à Bulova et vendue en Allemagne sous la référence 208 avec d’autres couleurs ; la 207 en est la version sans dateur , non distribuée en France ; 2136 cette horloge n’a jamais été vendue en France, pas plus que la 2001 .
page 3 ; sur cette page les assiettes et les références 2011 et 2703 sont endémiques , les autres sont des horloges identiques aux exemplaires français où présentant des toutes petites variantes par rapport à eux .
page 4 ; En revanche sur cette page tout est réservé au marché espagnol .
page 5 ; même constat sur cette page qui ne présente que des horloges espagnoles .
page 6 ; là encore tout est strictement espagnol ;
page 7 : aucune de ces horloges n’a été distribuée en France ;
page 8 : on constate qu’aucune de ces horloges n’est disponible en France à l’époque , esthétiquement sans regrets .
page 9 : encore une fois toutes ces horloges sont uniquement « espagnoles ».
page 10 : pas de versions françaises sur cette page 10 ;
page 11 : pas d’exemplaires distribués en France sur cette page 11 ;
page 12 : il est de même pour cette page toute espagnole .
page 13 : si toutes ces pièces sont réservées aux ventes en Espagne , pour une fois on le regrette pour ces radios réveils assez élégants ;
page 14 : malgré d’apparentes similitudes aucun de ces réveils ne verra le sol français ; despertadores = réveils en français ; ces lots de six réveils sont effectivement réservés aux horlogers espagnols . Rappelons que les catalogues Jaz , français ou espagnols , ne sont pas destinés à la clientèle particulière ;
page 15 : présentés en haut de page par lots de seize réveils , ils sont détaillés en dessous permettant de nous assurer qu’aucun d’entre eux n’a été vendus en France ;
page 20 : en revanche sur cette page , tout avait été précédemment disponible en France à part le 169 variante du POPIC de 1976 ; 1349 CLANIC ; 1397 SCINTIC ; 1317 CORSIC , 1346 DACRIC disparu en France en 1976 ; 165 LOPSIC ; 1331 VERTIC ; 1321 retour du CLODIC sept ans après sa suppression en France avec un cadran blanc ; 1320 DOCLIC qui avait été arrêté en France en 1978 .
page 21 : 1370 DARCIC , 1338 CARDIC , 1323 NICLIC ; ;
Tarifs réveils et pendules Jaz 1950 à 1959
Cet important ensemble de tarifs et de bons de commandes, allant de 1950 à 1959, permettra aux collectionneurs exigeants de connaître références et prix des Jaz . Les prix sont des éléments de datation utiles et très précis puisque ceux-ci varient d’une année sur l’autre , parfois d’un trimestre ou semestre sur l’autre . Enfin les comparaisons de prix peuvent très instructives entre Jaz ou avec d’autres marques d’horlogerie ;




































































SARDA Besançon collaboration avec JAZ 1947/1948
En presque cent ans d’existence , JAZ a multiplié les collaborations de tous ordres avec la reprise de CARAT et de la SAP Société Alsacienne de Précision puis l’absorption de JAPY , les accords avec Favre Leuba , la SMI Société Méridionale d’Industrie , Peter Uhren , Lorentz , La Vedette , LIP , ACCTIM clocks , BULOVA , Finhor du groupe Anguenot Frères puis Cupillard Rieme pour les montres , jusqu’à Seiko ou Matra et enfin Yema , Lotus et Pulsar. Toutefois l’accord conclu avec les établissements SARDA , spécialisés dans la vente par correspondance , est d’un type inédit , et qui plus est , très limité dans le temps et dans son ampleur : confier à cette marque la distribution de quelques Jaz .Effectivement à la page 8 d’un catalogue de cette marque , on trouve trois Jaz en vente dont les noms sont omis mais se voient dotés de références propres à SARDA : 48-81 pour le PERPIC , 48-82 pour le FLEURIC et 48-83 pour le CUIRIC . Ces deux derniers étant des Tirages Limités .
Comme la plupart des catalogues SARDA , il n’est pas daté ; toutefois la conclusion de sa page 2 fait nettement allusion aux affres économiques de l’immédiat après guerre et les dates d’apparition des Jaz présentés permettent de le dater vers 1947 /1948 . Ce sont , sans doute , dans les difficultés qui suivent l’occupation qu’il faut chercher les raisons de cette coopération qui ne connaîtra pas d’équivalent . Jaz a toujours affirmé auprès de ces horlogers affiliés qu’ils étaient leurs seuls vecteurs de vente , rejetant coopératives , grands magasins et vente directe aux clients . Cette offre , somme toute limitée , les revendeurs Jaz n’ont pu l’ignorer mais la consultation des tarifs nous éclaire sur son acceptabilité potentielle : SARDA vendait les Jaz plus chers qu’en boutique . Soit 3.500 Fr pour le PERPIC contre 3.450 Fr en magasin , 8.750 Fr pour le FLEURIC soit 250Fr de plus que chez l’horloger du coin et encore 200 Fr en supplément pour un CUIRIC vendu 9.700 Fr sur catalogue . ( voir la fin de l’article du CUIRIC pour l’étude de l’évolution de son prix de 1946 à 1951 )
Dans ce petit catalogue de seulement 15 pages , plus tardif – probablement de 1950/52 -c’est un seul Jaz qui est proposé .
Au milieu de la page 5 , sous la référence H.36 , c’est une EMPIC cette fois qui est disponible , dans sa version à chiffres arabes .
Pour autant , il ne faut pas voir des Jaz à toutes les pages , même si cette pendule en tôle émaillée , référencée H04 dans ce même catalogue 1950/52 , présente une forte analogie avec la GRANIC , seule horloge en tôle émaillée de la marque au jaseur boréal …
…et pour cause puisque le boîtier est absolument identique : mêmes renflements , strictement le même format et quasiment les mêmes chiffres . La raison est simple : pour un seul modèle d’horloge en tôle émaillée , Jaz n’a pas créé une onéreuse ligne de production spécifique avec four d’émaillage entre 750 et 860 ° . En revanche Jaz s’est fourni à quelques années d’écart auprès du même fabricant que SARDA . Avec toutefois la notable différence que Jaz avait doté sa GRANIC du calibre 5G , qui présente -comme tous les calibres G – l’avantage de se fixer au boîtier uniquement par l’axe central et l’orifice de remontage , contrairement à la version de SARDA dont le calibre nécessite , pour se maintenir , deux vis supplémentaires bien visibles à 3h et 9h .En 1953 , on retrouve de nouveau quatre Jaz disponibles au page 22 et 23 d’un petit catalogue SARDA de 25 pages . Sous la référence 5383 , c’est un des grands succès de Jaz que l’on retrouve le JAZIC .
à la page 23 ce sont des modèles beaucoup plus exclusifs qui sont proposés sans que leurs dénominations ne soient reprises mais des références propres à SARDA à savoir 5392 pour l’ALSIC , 5395 pour le SAPIC noir et 5396 pour le BUTIC .
PETIT HISTORIQUE de la marque SARDA Besançon En 1893 , à Besançon , Hyacinthe SARDA fabricant d’horlogerie comme il y en a tant à l’époque dans la capitale horlogère franc comtoise , installe sa boutique à l’angle du 33 Quai Vieil -Picard et de la rue Marulaz .
Catalogues SARDA 1926 / 1932 et 1934 Lauréat des concours 1913 /1914 /1919 de l’Observatoire National et Chronométrique de Besançon , SARDA se lance rapidement dans la vente par correspondance de montres , réveils , pendules , orfèvrerie , bijouterie comme TRIBAUDEAU autre maison bisontine fondée en 1876 .
Le succès est au rendez-vous , obligeant les établissements SARDA à déménager à un angle du boulevard Carnot dans des locaux beaucoup plus vastes , où la vente au détail est assurée .
Les raisons du succès sont à chercher dans la qualité des produits vendus avec des montres à complications , des chronomètres …
…mais aussi dans l’importance du marketing avec la diffusion de milliers de cartes postales publicitaires permettant d’obtenir les catalogues qui offraient un choix de 500 à 600 montres , soit qualité et quantité . Pour l’orfèvrerie , l’accent était mis sur le suivi des collections sur plusieurs années , permettant à des familles modestes d’acquérir petit à petit une ménagère de couverts , sans recourir au crédit .
Pas de jaseur boréal , comme JAZ , pour le logo de SARDA …
…mais l’aigle et les colonnes des armoiries de Besançon ( à gauche ) , aigle héraldique qui a l’avantage de ressembler fortement à celui des Savoie que l’on retrouve sur les blasons et les pièces sardes sans doute chers à SARDA et à ses origines .
Dans les années 60 , SARDA devient progressivement DIFOR avant de disparaître en 1979 suite à l’accord conclu avec MATY , le dernier bisontin de la vente par catalogue apparu en 1951 , devenu le poids lourd de ce marché avec de nos jours deux millions de clients , 7000 commandes par jour , deux tonnes d’or utilisées chaque année , 650 employés , 17 points de vente et le titre incontestable de leader européen de la vente de bijoux par correspondance , les montres et réveils n’étant dorénavant qu’un faible pourcentage du chiffre d’affaires .
Catalogue Jaz / Japy 1987 – 1988
Catalogue JAZ / JAPY 1987-1988 , 72 pages , reproduit in extenso – attention , à partir de la page 47 , ce sont des réveils estampillés JAPY qui sont présentés .
Catalogue 1988 1989 Jaz Japy + Supplément Nouveautés 1989
Catalogue JAZ / JAPY 1988 1989 , 42 pages , reproduit in extenso – attention , après la page 44 , ce sont des réveils estampillés JAPY qui sont proposés sur 22 pages + un supplément de 4 pages avec les nouveautés 1989 .Catalogue 1988:1989 page 0
Jaz 1989 nouveautés page 1
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