BULLIC , grande horloge murale , ronde oeil de Boeuf , mouvement mécanique 8 jours , à clef de remontage amovible , Calibre 4G à voyant triangulaire au dessus de l’axe central , indicateur d’armage et remontage démultiplié , aiguilles glaives noires, vitre en verre plat , cage en métal chromé référencé 8220 ou laqué ivoire référencé 8222, mouvement mécanique 8 jours , diamètre extérieur 30 cm , cadran 22 cm; apparue au tarif F192 de Janvier 1940. Elle dispose d’une ouverture inhabituelle de la lunette puisque la charnière n’est pas sur le côté comme d’ordinaire mais sur le dessus , ce qui est peu pratique puisque qu’il faut se servir de ses deux mains pour remonter l’horloge ou modifier l’heure , ces calibres ne possédant pas de bouton au dos .
Calibre G ou 1G : Mouvement mécanique à clef amovible , format 6 x 8 cm. Mouvement d’une autonomie de 8 jours sans fonction réveil , platines pleines ( non-ajourées) , hauteur sur platines : 23,5 mm , pont de barillet , arrêtage à croix de Malte , pignons à fuseaux , porte échappement Roskof indépendant à trois pierres , balancier à pivots , spiral auto-compensateurs ( 14.400 oscillations /heure) . Quatre variantes existantes : Calibre G ou 1G : il dote douze horloges murales SARRIC , BOISIC , SOFIC , BERTIC , SEVRIC , SORIC , VISIC , MASSIC , TERRIC , MASSIC , FROMIC , PRINTIC et une horloge à poser POSICCalibre 3G identique à 1G mais avec voyant indicateur d’armage et remontage démultiplié , pour emboîtage moulé qui équipe trois murales APPLIC 1934 , APPLIC 1945 , QUADRIC et trois horloges à poser CADIC , FANTIC , HOTIC Calibre 4Gidentique à 3G mais pour emboîtage métallique pour deux murales en métal LENTIC , VISICCalibre 5G identique à 1G mais avec porte -échappements à 6 pierres ( à partir du 1° mars 1951 c’est lui qui est monté dans les horloges murales Jaz soit 21 au total ) VISIC après 1951 , NEPTIC , PRINTIC après 1951 , SPIRIC , BRETIC , FORMIC , RHONIC , MURIC , Nafra-Don pub , GRANIC , Le Progrès Pub , Cognac Pub , ZODIC , CUISIC , MITRIC , CAMPIC , LUMIC , LIVIC , REXIC , DELFIC , LIGNIC . Ce calibre ne possède plus le témoin de charge des 3G et 4G .cadran de CADIC Particularité des calibres 3G et 4G : la petite fenêtre de témoin de réserve de charge ou voyant indicateur d’armage au milieu du 2 de XII heures : lorsque le triangle est rouge il faut remonter le mécanisme . Le 8 au dessus de l’axe central rappelle l’autonomie de 8 jours du calibre G qui n’a pas de fonction réveil .Les calibres G ne sont pas toujours datés mais lorsque c’est le cas , ce sont les deux derniers chiffres qui indiquent la date , en l’occurrence 37 pour 1937 .La particularité des horloges en céramique Jaz , dotées du calibre G , est l’absence totale de vis de fixation dans le cadran grâce à un système exclusif de maintien par un œillet autour de l’orifice d’entrée de la clé . La concurrence affichait au moins deux , trois voire quatre têtes de vis pour le moins voyantes et disgracieuses sur ses cadrans . Le calibre AG , qui succède à partir de 1956 au calibre G , ne présente plus cet avantage et nécessite deux vis de fixation en facade .pages extraites LE GUIDE JAZ fournitures pour réveils et pendulettes circa 1953 à 1958
QUADRIC , horloge murale en bois , mouvement mécanique à clé amovible , calibre 3G d’une autonomie de 8 jours . Corps en bois , vitre en verre plat , aiguilles type buildings noires , petite fenêtre triangulaire de témoin de charge passant au rouge quand l’horloge doit être remontée , en dessous du XII et au dessus de l’axe central . Format 35 x 32 cm , poids en uniface 3 kg ; poids en biface 5 kg . Recto de la version biface à hublot fixe : ni fenêtre de témoin de charge , ni orifice pour la clef de remontage . Vue du dessus : un crochet de chaque côté pour la suspendre
Dans le catalogue de 1934/35 , Jaz affiche clairement la destination de cette horloge proposée en deux versions : uniface ou double face , pour les lieux publics . On peut trouver des QUADRIC arborant le nom d’un horloger sous le XII ou d’un grand magasin comme les Galeries Lafayette . Elle n’était pas prévue pour être accrochée aux murs mais suspendue par chaîne ( fournie) ou des tiges chromées ce qui , suivant la situation , permettait éventuellement une lecture de l’heure des deux côtés pour la version biface . Voir notre article tutoriel de démontage de la QUADRIC .
il en existe une plus petite variante non référencée dans les catalogues Jaz
APPLIC , horloge murale en Bakélite , mouvement mécanique à clé , calibre 3G à clé en façade d’une autonomie de 8 jours , référencée n°8032 .Corps en Bakélite dite Jazolite , aiguilles type buildings chromées , petite fenêtre triangulaire de témoin de charge passant au rouge quand l’horloge doit être remontée , en dessous du XII et au dessus de l’axe central . Format 23 x 23 cm, poids 930 gr . Forme de pyramide tronquée .Cadran en métal moulé « argenté » avec chiffres en reliefs , on retrouve ce même cadran sur la FANTIC .Son calibre 3G n’est pas daté De dos , cette horloge est très similaire à version de l’APPLIC de 1936 qui lui succède .Elle partage d’ailleurs le même calibre que cette APPLIC version 1936 qui a exactement le même format .
HOTIC , grande pendule à poser , mouvement mécanique à clé amovible , calibre 3G d’une autonomie de 8 jours avec remontage en façade , sans fonction de réveil , réf. n°8056 au catalogue 1934/35 en bakélite rouge , existe également en bakélite verte . Corps en Jazolite la bakélite brevetée par Jaz , cadran en métal moulé « argenté » avec chiffres en reliefs , aiguilles « buildings », aiguilles et chiffres lumineux. Pour stocker la clé , un logement en creux , épousant sa silhouette , a été aménagé au dos dans le corps en bakélite . La petite fenêtre triangulaire , dans le cadran entre le XII et l’axe central , appelée » guichet avec indicateur d’armage » laisse apparaître un voyant rouge indiquant 24 h à l’avance que la pendule doit être remontée . Format 18,7 x 24,5 cm . Jaz , toujours dans l’air du temps et souhaitant donner un style » cossu » à sa gamme de pendules à poser , lui a donné la forme qui est typiquement Art Déco.
Ce diaporama nécessite JavaScript.
On la voit trôner au centre du stand Monsieur Hamelin , dépositaire Jaz , à la foire d’Angers vers 1935
Cette horloge a eu un beau succès à l’exportation comme le montre cette publicité anglaise d’époque et l’indication French Made répété deux fois sur le cadran ; En outre il s’en retrouve un exemplaire en vente sur les sites marchands anglais et américains environ une fois par an .
LENTIC vert deux tons réf. 8202 LENTIC , horloge murale , œil de bœuf , mouvement mécanique à clé amovible , calibre 4G , autonomie 8 jours . Boîtier en métal chromé ou émaillé , vitre plate en verre , aiguilles buildings . Nouveauté du catalogue 1937 à la page 10 : trois modèles disponibles : chromée n°8200 ; émaillée vert n°8202 ; émaillée beige n°8204 . Diamètre 30 cm , poids 3,428 kg . Quatre versions disponible au tarif F 178 du 15 Avril 1939 : chromé n°8200 , prix 300 fr ; vert deux tons n°8202 , prix 275 fr ; beige deux tons n°8204 , prix 275 fr ; tout ivoire n°8206 , prix 275 fr .
épaisseur 6,5 cm , diamètre de la vitre 20 cm
C’est ainsi que le catalogue de 1937 vante une capacité peu courante de la LENTIC : Lunette démontable en deux pièces facilitant le remplacement du verre Cet argument publicitaire et technique nous semble étrange , comme s’il était usuel d’avoir à changer la vitre de sa pendule . En revanche remonter le calibre G devait se faire au moins tous les 8 jours et assez fréquemment régler l’heure , ce qui se fait sur les horloges murales en poussant délicatement l’aiguilles des minutes . Or ce système de hublot , dont la charnière est au sommet , n’est guère pratique . Effectivement il est d’usage , pour voir l’heure dans toute la pièce , de positionner son horloge assez haut sur le mur ; c’est donc à bout de bras qu’il faut soulever le hublot métallique pour accéder au cadran . Sauf que la vitre plate cerclée d’inox n’étant pas fixée , il faut , lorsque l’on soulève ce hublot d’une main , la maintenir avec l’autre main afin qu’elle ne tombe pas , puis l’enlever pour remonter le mouvement ou modifier l’heure et enfin la repositionner pour refermer le hublot : opération complexe et peu aisée qui peut conduire à casser la vitre . Dès lors la facilité à changer le verre prend son sens ce qui est pour le moins paradoxal , voire absurde . Les concepteurs de cette horloge seraient ils donc … disons incompétents , pour rester élégant ? Une charnière à III ou IX heures , sur le côté donc , n’est il pas une solution évidente qui sera d’ailleurs utilisée par Jaz sur d’autres pendules murales ? Sauf que celles ci étaient dans d’autres matières plus denses , or la LENTIC est constituée d’une tôle relativement légère que le poids du hublot gauchirait ou tordrait irrémédiablement s’il reposait sur une charnière de côté . La charnière au sommet ne présente pas cet inconvénient : CQFD !
Les deux derniers chiffres sur le calibre G indiquent l’année de production en l’occurrence 1937
une petite fenêtre triangulaire de témoin de charge du ressort passe au rouge quand l’horloge doit être remontée
La LENTIC n’est plus en vente pendant la guerre, elle était la première et seule horloge murale en métal de la gamme Jaz d’avant guerre , les autres étant en céramique , bois ou bakélite : TERRIC , SEVRIC et APPLIC . La VISIC est son héritière en 1948 .
CADIC , pendule à poser , mouvement mécanique 8 jours , calibre 3G . Présente dans la collection de 1936 et au Tarif F129 d’Août 1936 . Boîte en bakélite et plaques chromées , aiguilles buildings .
Proposée en trois couleurs : acajou référencé 8012 , vert référencé 8014 ou thuya référencé 8016 . Non lumineux . Dimensions hors tout: largeur 18,2 cm x profondeur 9,1 cm x hauteur 12,5 cm. Poids 1,125 kg.
Dimensions au cadran 11,6 x 6,9cm.
On notera la petite fenêtre de témoin de réserve de charge au milieu du 2 de XII heures : lorsque le triangle est rouge il faut remonter le mécanisme . Le 8 au dessus de l’axe central rappelle l’autonomie de 8 jours du calibre G qui n’a pas de fonction réveil .
Ce mouvement dotait les premières horloges murales Jaz mais , dans le cas de ces pendules à poser , le remontage ne se faisait pas en façade mais par l’arrière grâce à une clé qui disposait d’un logement moulé en creux dans la bakélite au dos de l’horloge pour certains modèles ; en l’occurrence pour la CADIC , la clé est fixe . Elle n’est plus en vente en 1937 . Ce nom de CADIC sera réattribué en 1976 à un réveil Electronic .Ces pendules à poser en bakélite obtinrent de beaux succès à l’export aux USA et en Grande Bretagne particulièrement . Le siège de la filiale anglaise se trouvait en plein Londres face à St Sepulchtre’s Church , proche de la City .
APPLIC , horloge murale , mouvement mécanique , calibre 3G à clé en façade d’une autonomie de 8 jours . Corps en Bakélite dite Jazolite , aiguilles type buildings , cadran de métal découpé composé de 12 chiffres peints en ivoire , petite fenêtre triangulaire de témoin de charge passant au rouge quand l’horloge doit être remontée . Format 23 x 23 cm, poids 790 gr . En 1936 cette première version de l’APPLIC apparaît avec cadran rond sous lunette vitrée sur le même boîtier carré à pans biseautés en bakélite . Pendant la guerre , en raison des pénuries et des restrictions imposées par l’occupant , les pendules en bakélite ne sont plus produites . En 1942 , il n’y a plus que deux pendules en céramique disponibles qui sont à leur tour interdites si bien qu’en 1943 il n’y a plus aucune horloge murale en vente .Dès 1945 une horloge en bakélite réapparaît provisoirement , c’est la nouvelle APPLIC qui conserve la silhouette de la première version mais troque son cadran blanc et sa lunette ronde vitrée contre un centre granité et une élégante garniture de chiffres chromés qui lui donne paradoxalement un aspect beaucoup plus Art Déco que le modèle d’avant guerre . Elle disparaît des tarifs 1946 et 1947 pour réapparaître de nouveau à la page 3 du tarif illustré de 1948 équipée du calibre 3G mais cette fois le cadran et les aiguilles sont de couleur ivoire pour contraster avec la bakélite laquelle peut être soit brune marbrée soit rouge marbrée , référencées 654-24 et 654-34 . En 1949 et 1950 seule cette version rouge subsiste aux catalogues faisant d’elle l’ultime pendule murale en bakélite produite par Jaz .
APPLIC version marbre rougeAPPLIC version brun / noir
VISIC 1952 VISIC , horloge murale , mouvement mécanique , calibre 4G puis 5G (à partir de 1951) d’une autonomie de 8 jours , à remontage par clé en façade . Présentée dans le tarif illustré FH d’Octobre 1948 . Lunette en duralinox poli , vitre en verre plat , cadran en métal satiné , aiguilles style buildings . Diamètre 30 cm , poids 855 gr . Cette horloge est la descendante de la LENTIC de 1937 et l’ancêtre des VUSIC et VIRIC qui partagent toutes le même boîtier en métal léger mais dotées de calibres et de cadrans légèrement différents . Elles disposent d’une ouverture inhabituelle de la lunette puisque la charnière n’est pas sur le côté comme d’ordinaire mais sur le dessus , ce qui est peu pratique puisque qu’il faut se servir de ses deux mains pour remonter l’horloge ou modifier l’heure , ces calibres ne possédant pas de bouton au dos . Malgré cette similitude d’aspect , il est relativement aisé de les distinguer . Effectivement , datant d’avant guerre , la LENTIC n’arbore pas sur son cadran d’oiseau jaseur apparu en 1941 et les chiffres de son cadran sont plus fins . Quant à la VUSIC qui lui succède en 1956 , son calibre AG impose deux vis de fixation apparentes sur le cadran de chaque côté de l’axe central qui permettent de la différencier facilement de la VISIC . La VIRIC étant une version électrique sur secteur 110 ou 220 volts , le câble secteur évite toute méprise .En Inde , où nous avons trouvé cet exemplaire , les VISIC arbore en plus du logo Jaz celui de son associé sur le subcontinent Favre-Leuba .
En revanche il existe deux variantes subtiles de la VISIC mais un petit détail permet de les discriminer aisément : apparue en 1946 , elle sera doté de 1948 à 1951 du calibre 4G qui dispose d’un petit regard triangulaire juste au dessus de l’axe central des aiguilles qui permet l’apparition d’un témoin rouge de témoin de réserve , appelé avant guerre indicateur d’armage , qui indique qu’il ne faut pas tarder de remonter la pendule . Il disparaît en 1952 au profit de la mention « 8 DAYS » et d’une petit flèche indiquant le sens du remontage avec l’adoption du calibre 5G . En outre les variantes de 1946 et 1947 étaient disponibles avec cadran métal satiné , référencée 625-10 , ou métal noir , référencée 625-14 . En 1956 lui succède la VUSIC qui ne s’en distingue que son calibre AG.
Nous avons remarqué que , bien souvent, la fixation au dos a été recourbée par les utilisateurs , cette dernière n’étant pas alignée sur le bord du boîtier s’avère donc peu pratique .
Merci à nos lecteurs attentifs Delphine GUERRIER et Guillaume QUEMBRE de nous avoir confié ces photographies de leur VISIC à cadran marron qui porte sous le VI la mention Photal Damien qui avait déjà intrigué un visiteur vietnamien , il y a quelques mois , sur une horloge identique .
Le procédé Photal Damien est un système d’impression photographique sur métal qui permet une grande finesse de couleurs et de détail . On trouve également l’inscription PHOTAL DAMIEN sur des règles à calcul , des cadrans d’instruments d’aéronautique , des étiquettes métalliques ou des appareils photos . Le procédé utilise des plaques d’aluminium photo-sensibles , donne une inscription sans aucun relief et permet des teintes différentes sur la même surface entre le rouge et le noir . Les couleurs palissaient avec une exposition à la lumière . Nous ne connaissons pas le mécanisme exact de ce procédé mais il devait demander de l’outillage ou des compétences assez pointus car pendant la période de l’occupation , ce procédé a été systématiquement remplacé par la gravure chimique, qui était à la portée de n’importe quel imprimeur de quartier. Cette VISIC à cadran marron n’apparaît pas dans nos catalogues français , mais on sait que Jaz vendait des produits différents à l’export , peut être est ce le cas ? En outre , nous ignorons si JAZ employait le procédé Photal Damien sous licence ou bien faisait faire ces cadrans auprès de la Régie Maurice Damien qui était installée à Paris .
FANTIC , grande pendule à poser , mouvement mécanique à clé amovible , calibre 3G d’une autonomie de 8 jours avec remontage en façade , sans fonction de réveil . Corps en Jazolite la bakélite brevetée par Jaz , décors chromés , cadran en métal moulé « argenté » avec chiffres en reliefs , aiguilles « buildings », aiguilles et chiffres lumineux ( sur ce modèle la peinture du cadran a disparu ).FANTIC et son cadran vert le calibre 3G est à l’aise dans ce grand boîtier en bakélite le format imposant de ce boîtier impose cette rallonge en bakélite pour l’avance / reculle calibre n’est – hélas – pas daté .
Existe en deux tons Thuya réf. 8046 et Acajou réf. 8048 dans le tarif d’Août 1936 à la page 4 . Pour stocker la clé , un logement en creux , épousant sa silhouette , a été aménagé au dos dans le corps en bakélite . La petite fenêtre triangulaire , dans le cadran entre le XII et l’axe central , appelée » guichet avec indicateur d’armage » laisse apparaître un voyant rouge indiquant 24 h à l’avance que la pendule doit être remontée . Format 18,5 x 29 cm . En 1937 seule la couleur Thuya est encore disponible . Jaz , toujours dans l’air du temps et souhaitant donner un style » cossu » à sa gamme de pendules à poser , lui a donné la forme qui est typiquement celle des bahuts Art Déco et particulièrement du plus célèbre d’entre eux le » Meuble Elysée » de Jacques -Emile Ruhlmann créé 15 ans plus tôt et conservé au Mobilier National . La dénomination FANTIC sera réattribuée en 1983 .FANTIC acajou réf. 8048 de dos avec sa clé amovible dans son logement .publicité , fin d’année 1934 ; l’Illustration , annonces page XV , format 34 x 12 Ces pendules à poser en bakélite obtinrent de beaux succès à l’export aux USA et en Grande Bretagne particulièrement . Le siège de la filiale anglaise se trouvait en plein Londres face à St Sepulchtre’s Church , proche de la City .
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.