
Les anges se font plumer est le quatrième San Antonio que nous citons dans cette rubrique; nous le devons encore une fois à un couple d’amis, fidèles abonnés de notre Facebook Jaz Le Bon Temps, Carole et Vincent DROUIN, les farfadets du château de Cénevières dans le Lot, que nous remercions toujours chaleureusement.
Nous ne recopierons pas notre analyse qui reste valable pour toute l’œuvre de Frédéric Dard, il suffit de vous y reporter mais force est de constater que Jaz était assurément synonyme de réveils à l’époque: l’antonomase de réveil.

Extrait de Frédéric Dard mon père, par Joséphine Dard (Michel Lafon)/DR
1957, date de parution de ce livre, Dard se rend en pèlerinage au Texas, dans la ville de San Antonio. « Il a envoyé des cartes postales aux libraires », s’amuse sa fille Joséphine. son épouse Odette l’accompagnait: « Il a improvisé un voyage en bus Greyhound, depuis New York. Aussitôt arrivé à San Antonio, il a loué une belle américaine. Nous avons sympathisé avec un cow-boy et découvert qu’il s’agissait d’un curé ! »

