Cette comédie burlesque est une vitrine pour la société JAZ en 1976 puisqu’elle présente au moins six modèles de la collection de cette année là .
On y retrouve un employé (Michel Galabru), et son épouse (Bernadette Lafont), sa secrétaire et maîtresse (Anicée Alvina), chargé de protéger le neveu de son patron (Maurice Risch) ayant fauté avec la fille d’un mafioso.
Le festival des JAZ commence dans le bureau de Michel Galabru, avec un LONGIC.
Dans le bureau du patron (Vittorio Caprioli), on aperçoit un BAMIC.
Au chevet du lit de Michel Galabru, on distingue un DECIC.
Passage à l’hôtel « Le 7ème ciel ». A l’accueil: un MILTIC.
Un lit d’appoint pour Claude Risch, auprès d’un PODIC.
Destin funeste pour ce VINIC qui cessera définitivement de sonner après un coup de revolver , c’est d’ailleurs la dernière année de production pour ce gros réveil .
Le générique de fin n’oublie pas de remercier JAZ.
Le générique de fin nous invite également au 59 rue la Boétie, à deux pas du siège social de JAZ , situé au 64 bis.